Raison n° 1 : l'échec permet d'apprendre
Echouer permet d'apprendre, apprendre à ne plus commettre les mêmes erreurs, apprendre que le projet d'entreprise n'était pas nécessairement abouti, que les produits ou les services n'étaient pas en adéquation avec le marché, ou simplement qu'il ne s'agissait pas du bon secteur d'activité.
Raison n° 2 : L'échec fait progresser
Connaître un sérieux revers dans une activité donne la possibilité de faire évoluer son projet dans le bon sens, en cherchant de nouveaux débouchés, une nouvelle manière d'aborder son travail. Bref, de progresser, d'avancer.
Raison n° 3 : l'échec recentre sur des valeurs positives
Echouer prouve une chose primordiale en création d'entreprise : cela démontre que l'entrepreneur a tenté, testé, essayé, risqué, misé... autant de valeurs positives essentielles pour parvenir à ses fins, et autant de valeurs indissociables de l'état d'esprit d'entreprendre.
Raison n°4 : ce qui ne tue pas rend plus fort
L'échec endurcit le chef d'entreprise, le rend plus fort face à un contexte toujours plus compétitif et féroce. Echouer est bénéfique car il suppose de produire un surcroît d'énergie pour parvenir à le surmonter. Il forge une expérience, un vécu.
Raison n°5 : L'échec dope l'innovation
Bon nombre de success stories de capitaines d'industrie et d'entrepreneurs d'envergure sont inexorablement passées par la case échec avant de connaître une belle réussite. Car c'est dans la difficulté que les meilleure idées et les concepts les plus forts sont souvent imaginés.
Raison n° 6 : Aide à faire un bilan et à piloter un projet
Se planter, échouer, fait émerger les forces et les faiblesses d'une entreprise. Cela aide grandement à piloter au mieux une entreprise, à savoir quels aspects de la politique commerciale est à travailler, à améliorer, à gommer, mais surtout quels sont les points forts qui subsistent. Et donc de quels atouts bénéficient l'entreprise sur son marché.
Raison n°7 : l'échec remet la notion d'égo à sa place
C'est surtout la crainte de l'échec qui handicape, la crainte du regard et du jugement des autres, le sentiment de honte de dire qu'on à échouer. Mais pourtant, sur ce point l'échec est salvateur. Car ces sentiments relèvent de la notion de l'égo, d'un égo surdimensionné. Et la notion d'égo n'a rien à voir avec le monde de l'entreprise, avec l'état d'esprit d'entreprendre, elle doit rester totalement à l'écart. Les échecs permettent ainsi de garder les pieds sur terre.
L'échec est ainsi loin d'être une fatalité, bien au contraire ! L'échec est en réalité un des chemins qui mène à la réussite.